• Ô Sublime Maitresse

    me voilà à Vos Pieds, honteux et perdu ...

    j'avoue mon inconstance et ma peur,  j'avoue que Vous m'êtes Supérieure et bien plus Assumée que je ne le suis moi-même.

    oui, Maitresse, je confesse ma faute et ma légèreté, dans la honte, dans la souffrance, dans le mépris de moi même de ne savoir assumer la punition que Vous m'infligez.

    je ne sais pas l'exaucer, je ne peux me résoudre à dévoiler autour de moi mes vils penchants à la soumission, à la vénération que je Vous porte profondement et sincérement.

    je Vous supplie, à genoux, humblement, misérablement, de faire preuve de clémence, d'accepter de lever cette punition que Vous avez choisie à dessein, qui tel un harnais de contrainte trop serré, m'étouffe et m'angoisse, me met dans Votre Main Sévère tout entier, et je Vous assure que je sens parfaitement le Joug de Votre Pouvoir sur mon cou, lorsque Vous pouvez disposer de moi et de mes intimes pensées de cette manière.

    je suis honteux.

    je suis meurtri.

    je suis perdu.

    je m'en veux de n'être pas à la hauteur de Vos attentes.

    j'abdique ici publiquement toute vélléité de révolte, car Vous avez su démontrer que Vous avez le talent inné de me contraindre et de me faire rendre les armes.

    J'implore Votre compréhension, Ô Maitresse .


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  • Vénérée et Adorable Maitresse

    votre soumis a eu envie de vous laisser qq mots, ici, en espérant que dieu Internet Lui laissera les lire bientôt ...

    "la journée a été belle, chaude en ce printemps avancé,
    et déjà la soirée commence. Il roule vers son rendez vous, convoqué allègrement par Maitresse.

    Toujours mystérieuse, Elle en a encore moins dit que d'habitude. Mais précise comme Elle aime l'être, et toujours avec le sens pratqiue qui la caractérise, Elle a à nouveau imposé quelques contraintes préliminaires à son soumis.

    Le rdv a lieu à l'Est de Paris, il doit venir La chercher chez sa tante.
    Bien entendu, il se présentera irréprochable, .. à l'extérieur ... chemise blanche, jean's bleu, baskets converse aux pieds.
    Pour le "dessous", c'est une autre histoire ...Elle a enjoint d'enfiler le cycliste noir à mi cuisse, collant comme une deuxième peau.
    Sous la chemise, un T-shirt rouge, trés court car il arrive à peine au niveau du short, découvrant le ventre lors des mouvements.

    Sous le cycliste, et comme Elle le demande souvent, un bondage serré : il a proposé, et Elle y a consenti, d'utiliser une ceinture spéciale en cuir, équipée d'une poche de cuir en forme de tube.
    Cela oblige son "cavalier" soumis à enserrer son sexe , puis à lacer fermement le tube, puis enfin à replier le tube entre les jambes et à venir l'attaher à l'arrière de la ceinture.
    Dès lors, chaque "bandaison" est douloureuse, mais difficile, contenue, le cycliste se gonfle un peu , mais pas trop, et la marche en est rendue pénible et controlée pour le soumis.

    Une bonne manière , se dit Elle, de réfréner un peu son excitation ..

    Elle lui a enjoint également de préparer une paire de tongs, pour qu'il expose ses pieds de soumis.
    Il en a en cuir, plutot jolies, ou bien plus humiliantes , bleues, en cautchouc , pas trés "classe" et Elle fera son choix au dernier moment ... D'ailleurs, peut être préferera t-elle le mettre pieds nus, ou en botte de caoutchouc; qui sait , selon son inspiration du moment !

    Quant à Elle !!!!! Elle, ... Elle a choisi une tenue adaptée à toute éventualité, robe à mi-cuisses, ample, légère, volante,  moulée en haut, dont le décolleté ne peut qu'attirer le regard. Ses dessous intimes restent un mystêre et gare à son soumis, si il lui prenait l'envie d'aller y regarder de trop près,  ce qui pourrait être interpété comme une offense à punir ...

    Néanmoins,  on est Domina ou on ne l'est pas ... elle a quand mêm choisi une paire de chaussures à talons, hauts mais confortables,   Elle sait que le cliquetis de ses talons reste un dialogue muet et secret à chaque pas avec sa "chose"...

    Une fois dans la voiture, et après avoir salué civilement, après Lui avoir courtoisement tenu la portière,
    ils s'installent et partent vers leur destination ..
    Maitresse a souhaité faire des courses dans un centre commercial.
    Elle lui a bien evidemment ordonné de reserver aussi une chambre d'hôtel qu'ils prendront plus tard.

    Arrivés sur le parking du centre commercial, l'ordre attendu tombe, "déshabille toi !"  , Elle le veut dans la tenue qu'elle a imaginé. Il commence à se contorsionner dans la voiture, mais bien évidemment, c'est avec un sourire pervers, qu'Ellui lui indique d'un signe des doigts d'aller dehors, et de le faire devant ses yeux, hors dela voiture, comme au spectacle.
    Soumis à sa Volonté, humilié mais excité, il s'execute et retire panatlon, baskets et jean's sous son regard inflexible et amusé ... 
    de quoi a t-il l'air comme cela,  vaguement l'air d'un "jogger" , encore pieds nus, les mains au dos comme Elle le lui a toujours appris ?

    Elle claque des doigts pour qu'il s'approche et lui fait signe d'ouvrir la portière.
    Entr'ouverte, Elle sort avec érostisme un Pied chaussé, et Son index impérieux ordonne de venir lécher le Pied. A genoux, murmure t-elle !

    Il s'affole un peu, se sens déjà trés mal à l'aise dans cette tenue humiliante, qui lui fait perdre dignité, bien être, assurance de soi, virilité ...
    Que penseraient les gens en plus ,quand il sera à genoux ?

    Il n'ose contredire et s'agenouille, baisse la tête, s'enivre de la Beauté de la cambrure offerte, lèche avec délice le Pied et le dessus de la chaussure si seyante ...
    Elle .... Elle aprécie l'hommage, dignement, sans démonstration surpeflue car cet hommage ne lui est il pas simplement dû ?

    Cependant, une Maitresse ne saurait se contenter d'un seul hommage, et lui empoignant les cheveux, Elle le force à s'allonger à terre, face au sol, afin de pouvoir descendre selon Son Rang de la voiture .. Le talons s'enfoncent dans son dos, et peut être a t-elle marqué plus qu'il ne fallait l'arrêt sur son paillasson....  
    Elle lui enjoint de se relever et de s'épousseter, et finalement décide de lui faire porter les tongs en caoutchouc bleu,
    et tout en jettant un coup d'oeil ironique à l'entre-jambe gonflé de son soumis, Elle lui ordonne de la suivre à deux pas, afin ... qu'il ait l'air de marcher seul et donc de supporter seul l'humiliation de son accoutrement....!

    Humiliante épreuve !  Maitresse marche si fière, si Belle ....
    Elle attend qu'il soit derrière Elle, il n'a pas le droit de quitter des yeux ses semelles, ses talons.
    il marche comme un robot soumis, et apprend ce qu'est d'être "l'ombre" de la Belle.

    Nous allons faire une petite épreuve .... lui glisse t-elle,  maintenant qu'ils sont arrivés à l'entrée de la grande surface ..

    tu comptes sans bouger, yeux baissés, jusqu'à 200.
    Ton épreuve consiste à me retrouver, quelquepart dans ce grand magasin, mais tu n'as pas le droit de lever les yeux. Tu ne dois pas quitter le sol des yeux, même pas pour te repérer dans le magasin.
    Tu devras me reconnaitre juste en repérant mes chaussures ... mais bien sûr, pour corser ta difficulté et te rendre plus vulnérable ..  je vais changer de paire de chaussures dans qq instants ...  Il sera donc à toi d'imaginer si les pieds, les chaussures que tu verras m'apppartiennent ou non.  Lorsque tu en seras persuadé ... il te faudra t'approcher de la personne que tu croiras avoir reconnue, pour dire la phrase code :" Je vous ai retrouvée, Maitresse, comme un bon chien .."

    ...Rires !!   j'espère que tu ne feras pas d'erreur !!  Et Elle partit sur ce rire !

    Après 20 minutes de recherche comme un bon chien,  le soumis retrouva l'espiègle Maitresse, à qui le coeur battant, il vint sussurer la phrase clé. Ils étaient seuls dans le rayon, et Elle le récompensa sans un mot, cruelle et divine, par une gifle sèche et violente, pour le contenir à sa place de soumis perpétuel.
    Elle tourna vivement les talons sans un mot.


    Arrivés dans la chambre d'hôtel, la tension et l'excitation mutuelle semblait avoir monté d'un cran encore.
    Maitresse d'elle-même, elle n'en laissait rien paraitre, mais son silence, éloquent , indiquait qu'Elle avait l'intention d'exercer son Pouvoir sur sa chose sans retenue, sans pitié, sans se priver de tout plaisir ou invention qui pourrait lui passer par la tête.
    Elle lui ordonna de se dévétir, entièrement, et de s'agenouiller devant Elle.
    Elle alluma une cigarette posément, toujours debout, et ordonna à son soumis de la déshabiller également, mais après lui avoir fait porter un masque pour l'empêcher de jouir indument de son corps à Elle.  Une Maitresse ne se donne pas, ne se dévoile pas aux yeux concuspiscents ....

    Aveuglé, l'esclave fit courir ses mains sur le corps adoré, défit boutons, pressions, boucles et lanières, pour ôter chaussures et vetements, qu'il disposait soigneusement et avec respect sur le lit.
    Il retira avec précaution le string dont il sentit la fine étoffe, qu'il imagina seyant et cela le fit bander instantanément.... ce qu'Elle ne manqua pas de remarquer ..... sans un mot, presque sans bouger, Elle assena par surprise un violent coup de cravache sur le sexe tendu de l'esclave !
    Il cria de douleur et de surprise, car il n'avait evidemment pas vu partir le coup !

    "tu oses crier, larve ?!!! ne bouge pas !!"  une gifle tout aussi violente partit , pour lui apprendre à subir les corrections avec respect et fierté.
    "rappelle toi que lorsque je te corrige, je te fais honneur et tu dois t'en montrer digne !"

    oh,  certes,  il ne bandait plus ... il était même presque au bord des larmes ... ainsi , de toute son Autorité surpuissante, Elle le dominait, Elle le retenait prisonnier de sa Volonté.

    "te voilà calmé "  dit Elle avec douceur, cette douceur dont Elle savait faire preuve et qu'Elle distillait en froid et chaud ....

    Elle caressait sa joue ... maternelle, attentive, .... lui ne savait plus que penser, avait envie de prendre sa main pour l'embrasser, n'osait pas, de peur d'être encore réprimlandé.

    "tu sais, ma chose, dit elle, j'ai trés envie de jouir de toi, j'ai envie de t'infliger mille et un supplices, mais ce qui me gène .... c'est que je sais que tu n'attends que çà..
    j'ai donc deux solutions .. soit te laisser pantelant et frustré ... grand riiire ! ... soiit, aller au delà de ce dont tu te crois capable ... te pousser à bout .. atteindre tes limites, t'obliger à me supplier sans certitude de t'épargner .... mmmhhhhh  ,  que crois tu que je doive choisir ?....."

    Silence géné de l'esclave, il comprend clairement de quelle manière perverse et intelligente Maitresse veut le contraindre, l'empêcher de rester son "mentor", mais au contraire, s'affranchir de lui et rester toujours Maitresse du jeu et d'Elle-même.

    "Faites ce que bon Vous semblera, vénérée Maitresse,  je ne me sens pas le droit à la parole.."

    "Tu ne crois pas si bien dire ... siffle t-Elle avec entrain,  ...non, vraiment, tu viens de dire ce qu'il fallait ! 
    A partir de l'instant, plus un mot , plus un geste que je ne t'ai ordonné, et crois moi, je serai Im-Pi-Toyable !! 
    Pour commencer, tu vas tester un long silence, car tes mots m'enivrent trop, me couroucent ou m'émeuvent ... Donc, pour commencer, Tu vas porter longuement et péniblement une muselière de contrainte à partir de maintenant".
    Aussitôt, Elle s'empare du bailon noir qu'Elle avait acquis naguère, pour sévèrement entraver la bouche soumise ...
    Oh ! nul doute qu'Elle pensera à le lui enlever lorsqu'Elle aura envie d'être satisfaite, vénérée, profondemment léchée par une langue soumise et travailleuse, une langue entièrement dévouée à son Plaisir, une langue et une bouche qui n'auront de cesse de s'activer, de veiller à son enchantement et à son besoin de vibrer d'ondes de jouissance ...

    Maitresse s'empare du carcan, et immobilise les poignets et le cou.

    Alors seulement, Elle retire le masque, afin qu'il la découvre dans sa tenue noire et sévère, Elle est Belle, Elle lui fait envie, Elle dégage un érotisme torride auquel il est loin d'être insensible.
    Elle le sait ...    Elle en joue ... Elle fait volontairement claquer ses semelles contre sa plante des Pieds, en marchant,  elle sait que ce bruit le rend fou.

    "Vois tu, petite chose, je veux que tu saches ce qui va arriver.
    J'ai l'intention de jouir de toi, de t'interdire à toi tout plaisir.
    En revanche, chaque Plaisir que tu m'offriras, par ta vue, par ta douleur, par ton humiliation devra en plus être suivi d'un acte où Je ressens le Plaisir. Ta langue, et bien d'autres choses y pourvoieront.
    Sache que j'ai l'intention de me montrer .. assez cruelle, assez insensible, .....  j'ai envie de voir jusqu'où je peux t'amener ..."

    Maitresse s'empare alors du plug, le plus gros en latex,  qu'elle dépose sur le tabouret bas.
    Avec un peu de scotch, le plug est arrimé fermement pour ne pas tomber.
    Par grâce, Ele enduit généreusement le plug de lubrifiant, ainsi que la raie culière de l'esclave.

    Elle décide aussi de lui faire porter une paire d'escarpins a hauts talons , qu'il a emmené, afin de rendre sa démarche moins simple.

    Pour rendre le prochain supplice plus attrayant,  Maitresse décide d'aposer les deux pinces mordantes sur les tétons, assez haut malgré tout pour pincer l'ensemble du sein, mais perfidement, Elle y ajoute a chaque un poids de fonte pour étirer l'ensemble.
    Oh bien sûr, sur l'instant, cela tire juste un peu....
    Mais Maitresse sait que dans cinq minutes... dix minutes, la douleur sera vive, piquante, trés forte, et que son soumis n'aura en tête qu'une pensée : s'en libérer, faire cesser cette violente douleur...

    Calme, Elle essuie la salive qui coule de la bouche baillonnée et écartée ... Ella caresse sa joue comme pour l'encourager à l'épreuve suivante ... et le guide des épaules vers le tabouret.

    Puis, tranquille, ravie de ce qu'Elle a conçu, Elle s'installe confortable ment sur le lit, jambes croisées et allume une cigarette dont Elle tire de voluptueuses boufées.
    Ses yeux sont dans ceux de son soumis, qui, au essus du tabouret , attend son signe pour entreprendre son petit calvaire ....

    Maitresse sourit, gentiment, et d'un index négligent, pointe le bas.

    L'esclave s'accroupit et sent la pointe coller son cul,  il se positionne maladroitement, toujours dans son carcan, et cherche à positionner son orifice soumis devant la pointe.
    Dans le mouvement, les poids se balancent, étirent les pinces qui enflamment les tétons meurtris.
    Il veut s'arreter sous l'effet de cette douleur, mais Maitresse le relance par un ordre bref, 
    nullement impressionnée qu'il souffre, Elle veut que l'ensemble de son jeu soit enduré, sans concession.

    Il se reprend, respire vite, et pousse son petit trou sur le pal de latex dur ... quelle humiliation ! 
    Il s'imagine la vue que Maitresse contemple, il se sent dévoyé, honteux, peut etre le juge t-elle avec mépris .. ?
    Il pousse son cul vers le bas, utilise son propre poids pour s'empaler plus profond...
    Arrivé à un certain point, une douleur fulgurante envahit son fondement, l'anneau de muscle est violé par le plug, l'élargit au delà de ce qu'il peut endurer,  la transpiration de tout son corps est violente,   il essaie de remonter, mais il sent une poigne inflexible sur son épaule ,qui le calme, le maintient avec fermeté, le poids de sa Maitresse sur lui l'entraine inéxorablement vers le bas , il se sent aspirer le plug en lui même, avec douleur, avec plaisir, curieusement , d'avoir passé l'épreuve ...

    Ses seins sont horriblement meurtris, il crie dans son baillon ,mais Maitresse rit de plaisir, le félicite, fait même balancer un peu plus les poids, pour lui montrer que sa Souffrance n'est rien en comparaison du Plaisir qu'Elle reçoit , sans pudeur, sans retenue, à imposer sa Loi.

    Sa peau satinée, sa démarche si féminine, son charme chargé d'érotisme, son Autorité naturelle, fascinent son soumis. Si celui ci ressent une attraction irrésistible, seule ELLE peut le libérer de ses douleurs ou de ses envies.

    Elle est tout simplement Belle et les larmes qui montent dans les yeux du soumis sont dues tout autant au vif tourments infligés, qu'au désir inassouvi dans lequel Maitresse le maintient avec sublime perversité.

     


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  • Ils sont toujours dans cette rue sombre ...

    quasiment aucun mot n'a été echangé entre eux ... est ce seulement utile ? Une gifle precise,  quelques mots ordonnés, tout est dit, tout est a sa place...

    La seule envie de la Maitresse est de pousser la soumission, de dépasser les limites qu'il croit lui avoir "enseigné", à leurs débuts ... Sans doute ne s'est il pas aperçu encore qu'Elle s'est aguerrie, decouverte a travers ces jeux, transcendée dans son role sublime de Maitresse ..

    Elle veut maintenant recevoir plus, Elle se sent moins novice, plus dure, plus exigeante, plus sévère.
    Son Plaisir passera par son obéissance.
    Elle veut qu'il rampe et ne connaisse plus aussi bien qu'avant les regles.
    Elle veut l'etonner et instaurer un vrai esprit de soumission, lui qui auparavant lui "suggérait" des choses...

    Elle le repousse, comblée du premier plaisir, le laissant frustré.
    Elle claque des doigts, lui enjoignant maintenant de la précéder dans la rue. Le soumis avance maladroitement, à petits pas saccadés à cause du peu de longeuur de corde entre ses chevilles.
    Voici la voiture, mais c'est le coffre Maitresse ouvre : il est vide, à l'exception d'une couverture.
    Elle detache la corde, et lui fait signe de grimper dans l'etroit espace, elle le recouvre de la couverture - par discrétion !" et avant de refermer ... lui met entre les mains une bouteille d'eau ..."débrouilles toi pour qu'elle soit entièrement bue quand nous arriverons ! tu as 7 à 8 minutes ..."   et dans un grand rire joyuex, supérieur, elle claque le coffre !

    La voiture démarre, cahoté, inquiet, soucieux de plaire et de ne pas risquer une punition, le soumis avale a grande goulées.  A la moitié, il n'en peut déjà plus, et Maitresse a pris le soin pernicieux de confier une bouteille de 2 litres ... Comment eviter sa colère, si il n'obéit pas ? Il avale encore ... respire a fond, en reprend, sent son ventre plein, mais avale encore .. encore le quart ... et la voiture ralentit déjà !  C'est dur, impossible ??  allons remettrait il en doute un Ordre de maitresse ?
    Lui fait il  oui ou non, aveuglément confaince ? Si Elle l'a ordonné, c'est que cela lui fait Plaisir !  donc force toi, se dit il !
    Dernier effort, et il engloutit le liquide pendant q'Elle desscend de voiture.
    Le parking est sombre, désert ....
    Un claquement de doigts, pour le faire descendre , Elle le pousse a terre, a genoux, dos courbé, nauséeux de l'eau trop vite absorbée ... D'un Pied négligent, elle tapote son ventre balloné et s'enquiert avec une fausse naiveté ... "çà va ?....."  Son pied se pose alors sur son dos, la semelle et le talon creuse ses reins, l'oblige a s'allonger a terre ...Sans hésiter, Maitresse monte sur le soumis, a deux pieds  :  La Reine ! 
    "Ecoute moi bien ,  ma chose ... Maintenant, tu es arrivé là ou je voulais, sous mes pieds, tel un paillasson servile ... Sens comme le Pouvoir est correctement réparti entre nous .. toi rien , moi Tout !   Toi bas et souffrant, Moi Reine et obéie .."

     


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  • Maitresse a écrit ces mots, tel un Hommage à nos moments de complicité.

    Elle y fait référence en particulier à un moment étrange et spontané, pendant lequel nous avons sans réfléchir inverti les rôles de Dominant et de soumis, en complicité, sans concertation, parce que l'envie en est apparue dans nos gestes ...

    Moment unique, moment de rêve, comme si nous jouions avec le Feu, comme si nous franchissions un interdit, celui qui auparavant déterminait nos places, et que nous bravions par la grâce de voir son corps à Elle, exposé, martyrisé par les coups de cravache.

    Fasciné par cette vision, empreint de peine, j'essayais de prendre à mon compte la Douleur exquise que je lui infligeais .. Elle , Belle, Endurante, Offerte, recevait la Punition avec extase, fière de se donner aussi et de me faire cadeau d'une uatre facette d'elle-même...

    Moment magique dont Elle décrit son ressenti ....

    Voilà cher ami , aujourd'hui est presque fini , mais je ne cesse de repenser avec délice et bonheur à hier.
    J'étais heureuse d'arriver le soir  , de te rejoindre pour la nuit , car comme tu l'as dit , le facteur Temps n'existait plus , notre monde parallèle n'avait pas de limites.
    J'ai aimé , vraiment adoré tous les moments passés en ta compagnie.
    Être ta Maîtresse , découvrir tes limites , t'en imposer d'autres , te tenir en désir permanent , au bord de la falaise Jouissance , Être ta Soumise dans un bref laps de temps , supporter tes coups, tes fessées si attentionnées ,porter ce bijou de dominée, pour mieux t'inspirer ...
    J'ai aimé ce mélange de tout où nous ne formons plus que Un , dans le désir , dans le plaisir , dans la douleur dont les méandres nous font jouir , dans la justesse de nos « maux » qui étaient des « biens » , dans la recherche parfaite des coups qui sublime ce bonheur intense , dans l'humour que l'on prenait , dans le sérieux sans s'offusquer de rien...
    Oui , j'ai aimé...J'ai aimé les plaisirs partagés , et égoïstement , le désir que tu as fait naître en moi ,toute une journée durant, la jouissance que tu m'a offerte , me laissant femme plus que jamais.
    J'ai aimé te faire ce don de moi à toi , te tenir par la main , te guider en moi , te sentir dur en moi , me resserrer sur toi , ma crainte et ma douleur effacées  par ce spasme de plaisir qui me traversait , ton rythme qui s'imprimait en moi , le choc de tes hanches contre moi qui déclenchait à chaque coup une nouvelle douleur oh combien emplie de bonheur , d'une volupté étrange ,  dure , et pourtant si douce , si excitante et aphrodisiaque...
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  • Notre histoire a démarré comme cela ..  Voici un texte écrit de Sa Main ...

     

    Elle était là , assise à la terrasse de ce café , pianotant de sa main gauche sur la table , portant sa cigarette à ses lèvres de sa main droite...Son port est fier , droit. Elle porte une robe noire , qui découvre ses épaules  , relevée du fait de ses jambes croisées , qui se balancent à un rythme inconnu , entraînant dans leur mouvement les mules dorées qu'elle a aux pieds. Elle semble être absente  de ce monde , de cette réalité ou les hommes la regardent en passant , ou elle semble les toiser de derrière ses lunettes noires......Elle attend , s'impatiente....
    Le serveur passe , elle l'interpelle , lui commande une  Smirnoff Ice , se rallume une cigarette....
    Elle ne tourne même pas la tête pour observer les gens , ils ne l'intéressent pas , elle sait qui elle attend...
    Elle pense à la lithographie qu'elle vient d'acheter , « la création d'Adam» de Michel Angelo pour la chapelle Sixtine à Rome , elle pense aux couloirs de ces bâtiments ou tant de chuchotements , de rendez vous et de caresses ont été donnés , volés , accordés. Ces endroits ou le plaisir  est par essence interdit et qui ont déclenché tant de passions , de voluptés...Elle imagine ces regards furtifs , les baisers fougueux échangés dans les alcôves de ces lieux de méditation...
    Son imagination s'envole vers ces lieux , ces temps.........Mais sa vue se fait sombre tout à coup , son ciel est obscurci:elle lève le visage , il est là , devant elle , lui cachant le soleil..
    Elle le regarde , il a l'air gêné ,penaud.Elle ne lui adresse pas la parole , mais de la pointe de son pied , lui désigne la chaise à ses cotés....Il obéit ,comme il se doit........
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p></o:p><o:p> </o:p>Un petit début , juste comme ça , pour  t'embeter, te  permettre de rêver , sans arrière pensée aucune.. Ne  le prends pas mal , ce n'est pas de l'incitation , juste un petit clin d'œil...
    <o:p> </o:p>

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