• O Maitresse,

    La joie de vous avoir eue aujourd'hui, a été bien évidemment récompensée par la punition que Vous m'avez infligé ensuite.

    L'esclave que je suis en comprend bien sûr la raison, et ce que Vous me tendez d'une main, se doit d'être payé dans ma chair de l'autre.

    Comment sinon rendrai-je hommage à Celle qui daigne jeter sur moi Son Regard, et me fait l'honneur de me prendre comme carpette ?

    Seul ensuite, et à l'heure convenue, je me suis appliqué à suivre Vos consignes.

    J'ai ressorti ce petit plug en latex noir (merci Maitresse de ne pas avoir exigé le plus gros !), que j'ai pris en main. Quand Vous n'êtes pas là, il est comme un prolongement de Vous, comme si Vous étiez l'instrument tourmenteur et intrusif qui vous remplace.

    Bien logiquement, et pensant dévotement à Vous, comme si Vous étiez devant moi, sérieuse et attentive, inflexible et ravie de Vous voir obéie, jambes croisées, votre Pied battant la mesure, impatiente de me voir progresser, j'ai introduit l'objet de contrainte dans mon fondement, sentant au passage mon oeillet s'écarter, puis se refermer avidement sur la tige de latex. Rempli, géné, j'ai pratiqué un savant bondage autour de la taille, trés serré, puis ai utilisé le reste de corde pour maintenir bien en place le plug, en faisant passer la corde dans mon entrejambe, et en la reprenant par un noeud à la taille.

    J'ai remis mon short par dessus, puis j'ai pensé comme Vous l'aviez demandé à entraver mes chevilles. Pieds nus, j'ai serré les deux chevilles fermement, puis j'ai ajouté un bondage des deux gros orteils, pour rendre le bondage plus efficace.

    Je me sentais un peu géné, seul dans ce bureau, mais je suis resté debout face au bureau, désirant ardemment que vous me voyiez ou m'appelier, pour jouir de ma honte, et Vous satisfaire de mon obéissance.

    Je vous imaginais au travail, alerte, enjouée, pleine d'allant comme toujours, fantasmant sur l'idée que je pourrai être agenouillé sous votre bureau, le visage encastré dans Votre Vulve humide que je révère et honore, utilisant ma bouche comme une ventouse diabolique pour extraire Votre jus d'Amour, plaqué sur Votre sexe qui m'appelerait alors que Vos Mains tireraient mes cheveux en arrière pour faire cesser les ondes de plaisir qui Vous parcoureraient.

    Vous enfonceriez Vos Talons-aiguilles dans ma chair, pour Vous soulever et fuir, en même temps que Votre ventre avide s'avancerait toujours plus vers ma bouche dévote. Dès lors, plaisir pris et rassasiée, vous n'auriez plu qu'une idée en tête, me faire payer le prix de Votre Plaisir, durement ... toujours plus durement ...


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  • « Sache que je me prépare a jouir, quand et comme je voudrais, par ta vue, par ta douleur, par mon plaisir de voir que chacune de mes exigences peut etre comblée, que plus tu sentiras l'humiliation ou la souffrance, plus j'en serai satisfaite ... »  
    « Cela est il bien clair pour toi ? !!!»
    « Oui , Maitresse vénérée »  arrive t-il a articuler, manquant de souffle sous le poids complet qu'Elle s'amuse a imposer sur son dos.
    « Tres bien ... Les choses sont donc claires ..    Prends mes bagages, et suis moi à la chambre... »
    « Ah ... une chose que j'oubliais ... je t'interdis une chose, et t'en ordonne une autre :
    je t'interdis de lever les yeux sur moi, de dépasser la hauteur de mes genoux avec ton regard !
    Prends garde, car si par malchance pour toi, je croisais ton regard, je te punirai avec la plus extrême fermeté.  
    De plus, je t'ordonne de suivre constamment mes Pieds de ton regard servile, comme des Dieux à qui tu dois obéissance.... Ne les quitte pas des yeux, et si je m'aperçois que tu oubliais de les vénérer comme j'y ai droit, je te punirai également.  Est-ce clair ? »
    « Oui Maîtresse »,  souffle t-il encore,  inquiet de tant de Discipline si stricte ...
     

    Arrivés dans la chambre, où Elle le précède , évidemment , Elle le toise en silence, avec beaucoup de sensualité ... Sans doute jauge t-Elle son attitude, imagine t-Elle les jeux et tourments, les plaisirs aussi, qu'Elle lui infligera et qu'Elle obtiendra ...
    Le soumis, décontenancé par cette nouvelle Maîtresse si décidée, si sûre d'Elle, reste coi, fixant avec avidité les Pieds cambrés avec délicatesse dont il n'a pas le droit de détacher le regard.


    Il a préparé comme prévu un repas, froid mais copieux, a installé le couvert pour sa Belle Domina, et comme prévu aussi, a posé à terre sa gamelle vide pour l'instant.
    « As-tu préparé les accessoires de contrainte dont nous avons parlé ? »  Il acquiesce. Les montre humblement, il s'agit du carcan en bois déjà utilisé, ainsi que du nouveau « jouet » qui semblait plaire à Maîtresse, ce carcan appelé « humbler »   (humiliant)  qui oblige le soumis a conserver une position agenouillée et contrainte dû au rappel  de ses petites couilles enserrées.

    La Maîtresse examine ce dernier objet, le soupèse, en imagine l'effet contraignant sur son soumis, et son sourire s'élargit ... Cela lui plaît ! Elle flatte la joue de son esclave, de contentement, et celui-ci , par pur réflexe, veut le lui rendre et lève son regard réjoui vers Maîtresse ...

    'Tchac !!'  la gifle est partie sans avertissement, une Maîtresse ne se déjuge pas et ne prévient pas deux fois !
    « Du respect et de la discipline !! voilà ce que je veux !! Es tu trop futile pour savoir m'apporter cela et te comporter dignement à mon égard ?  Puisque tu ne me respectes pas, du moins pas assez , nous prendrons comme prévu notre dîner ensemble, mais .... Chacun à sa juste place .. Tu vois ce que cela signifie ? »

    Affaibli et troublé, il ne répond pas ... aimerais la prendre et la culbuter, jouir en Elle, la posséder ...  et il est là, coi, jouissant de sa propre impuissance et de sa soumission à Cette Femme Sublime qui sait le contraindre par ses mots et son imagination.
    « dénudes toi, retire les pinces, mets ce masque pour le moment »   Il s’exécute. 
     

    Il entend divers bruits, froissements, mais très vite, La Belle l'enjolive avec les accessoires :  Elle lui passe le carcan autour du cou, ainsi que des poignets et le referme. Le Bâillon-boule qui enserre toute la tête vient le rejoindre, et Elle lui ôte le masque, car Elle veut le voir en entier. « Tu peux même me regarder »  lance t – Elle comme un défi ... Il ose à peine .. !
    Elle s'amuse comme une folle avec le nouvel accessoire qu'il a construit, enserrant les couilles entre les deux planches en bois, et les étirant pour que les planches viennent buter sur l'arrière des cuisses.
     

    Le soumis gémit a travers le bâillon, se courbe pour atténuer la douleur (légère) de l'étirement, en tout cas il ne peut plus se redresser.
     

    Satisfaite, Maîtresse, décide de s'octroyer un Verre, Elle ordonne à son esclave de lui choisir une des boissons qu'Elle a prévu dans la glacière.
    « je ne t'offre rien ... .du moins pour l'instant .... Je crois que tu as , hum hum .. étanché ta soif déjà , non ?? »  Elle s'assied et croise les jambes, joue avec le frottement de ses cuisses, écarte les pieds et les promène sous le nez de l'esclave, il est à genoux et tente de trouver une posture stable.


    L'envie d'uriner le tenaille maintenant, et il quémande l'autorisation d'une petite voix étouffée par le bâillon... Elle le fait répéter plusieurs fois, s'amusant à ne pas le comprendre pour l'obliger à des efforts supplémentaires.
    « pas encore »  lâche t - Elle seulement, et Elle continue à siroter  sa boisson en le fixant d'un air gourmand....
    Elle le caresse , sur le dos, sur la tête, sur les cuisses, sur le bas ventre distendu, sur le sexe qui bande comme un hommage,
     

    « pour mériter de te soulager la vessie,  il faut quand même que tu en payes le prix, non ? » dit Elle avec une fausse candeur .... « Que tu me fasses un peu plaisir ...je ne sais pas ... j'hésite entre une épreuve douloureuse pour toi, ou au contraire une offrande que tu me ferais ..... »
    Elle réfléchit, semble hésiter ... joue avec son Pied chaussé sur le sexe de l'esclave ...
    « je sais ... !! tu vas gagner ta délivrance par ton ardeur !  Je te dirai quand je serai satisfaite,  allez ! Exécution ! »

    Elle se lève, relève sa robe qu'Elle ôte complètement, Elles est nue à part ses Talons. Belle ! Désirable !  Elle vient sans pudeur se mettre à quatre pattes sur le lit, les pieds hors du lit et les fesses juste au bord, en hauteur.  
    Le soumis a compris, il rampe à genoux vers Elle, qui lui détache son bâillon.
    Il vient encastrer son nez dans la raie des Fesses splendides, la bouche happe l'orifice sombre et magique, objet de toutes les convoitises.
    La langue servile et dominée, commence le lent travail de quête du Plaisir, parcours de bas en haut la raie culière, s'y arrête, en repart, l'embrasse , descend jusqu'à la fente du sexe et remonte encore,
    La pointe de la langue honore toujours plus l'œillet annelé, le baise, le caresse, l'aspire, y salive pour mieux le lécher,  le goût acre, divin en fait, l'enivre et lui donne envie de pousser encore plus son exploration intime, pour laquelle la Maîtresse s'offre encore plus, tend son cul en arrière pour mieux recevoir l'Offrande soumise et attentive.


    Elle devance la bouche, malgré Elle, elle adopte un mouvement de reins d'avant en arrière ... Elle veut que le visage du soumis s'écrase sur son cul, s'y imprime pour n'etre plus qu'un objet de plaisir dont Elle jouit !!!!!
    Enfin rassasiée, repue, Elle condescend d'un claquement de doigt a lui indiquer les toilettes. Où il es précipite ...   «  non ! pas dans les toilettes,   comme les chiens, tu t'accroupis dans la douche et tu te soulages devant moi ! face à moi ! »  honte suprême !    l'envie est si pressante qu'il s'accroupit et laisse aller le jet clair d'avoir avalé tant d'eau...
    Le ventre lui fait encore mal , mais que c'est bon d'avoir été autorisé.
    Sans pitié, et parce qu’elle n'oublie pas sa ligne de conduite ... Discipline, Fermeté ! ,   Elle vient ré-ajuster le Baillon.
    Jouant aussi de sa cravache,  Elle vient exacerber la peau de son soumis, le dos, les cuisses, les fesses,  le sexe ! oh , le sexe ! çà claque et il grimace  à travers le baillon, ... Elle aime çà ! 

     

     

     


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  • Elle l'a convoqué ....

    Rien n'a filtré, de ses intentions, juste une date (convenue) , une heure et un lieu ...
     
    Il la connait, rien n'est laissé au hasard, mais cette sensible froideur, ce  côté distant qu'Elle lui impose ... non, décidément, il a du mal a s'y habituer ..

    Tandis qu'il parcourt les derniers kilomètres le séparant de l'hotel, dont Elle lui a intimé de préparer soigneusement la chambre pour l'accueillir, il en est encore à  se demander ce qui l'attend.

    Routine, prendre la chambre, monter les bagages, 'le' sac, installer les affaires, sortir les accessoires qui pourraient peut etre agréer la Maitresse, oui il connait tout cela, mais il sent , à  rien, .. à  quoi au fond ? ... , que cette rencontre sera plus intense encore, plus dure, plus poussée ..

    Elle n'a rien dit, c'est vrai, mais il a senti qu'Elle le voulait préparé, inquiet, prompt a repondre a ses sollicitations ...
    N'a t-elle pas dit, seule indication, qu'Elle souhaitait l'éprouver et sentir sa soumission, qu'Elle allait prouver qu'Elle pouvait l'humilier comme même il ne pouvait l'imaginer ?

     Quoi qu'il en soit, le mystêre reste entier , pour lui, qui tremble d'envie
    et d'émotion, de la retrouver Belle et désirable, mais non sans une pointe d'inquiétude sur ce qui l'attend ...

    Elle doit arriver, sans précision exacte, vers 17 ou 18 h, elle a dit qu'elle le manderait par téléphone ...
     
    Il est prêt, fébrile, il attend, vérifie toutes les 5 minutes son téléphone, ... oui il y a bien un réseau accessible ..
    Il attend en tenue , c'est a dire, sans savoir exactement, il a revetu le string en vynil brillant qu'elle lui a offert, et rien d'autre.
     
    le temps passe , éprouve ses nerfs, sans doute en joue t-elle perversement, ... sans doute .

    dring ... dring .... il saute sur ses pieds nus, decroche avec fievre, au risque de raccrocher par mégarde ...

    "A genoux !".....Sa voix !!... .....juste cet ordre bref ... un silence
    .... "ne parle pas !" .... "ecoute moi !" ..
     
    "j'arrive sous peu , je suis fatiguée ..." ... "je t'attends dans 15
    minutes, sur le parking de ce grand magasin, tu m'attendras au fond, dans la
    partie la moins frequentée , sombre .. je te trouverai, sois en sûr, je
    chercherai l'endroit où tu pourras m'accueillir, choisis judicieusement,
    esclave, ne me déçois pas ! , je te veux nu , sous un imper, hors de ta
    voiture bien sur, a m'attendre ..."
     
    ... un long silence que je n'ose rompre ...
     
    " ah oui, bien sûr, nu et un imper, je t'ai dit, .... mais pour m'honorer,
    tu mettras a tes pieds les hautes mules orange a plateforme, que tu 'as dit posséder ..."


    .... ma Maitresse émet un petit rire de gorge où je décèle joie et perversité , peut etre meme un peu d'excitation à  imaginer mon trouble, mon angoisse de l'epreuve qu'Elle va m'imposer là ...

    "Autre chose, tu te muniras dans les poches de ton imper de quelques
    accessoires, n'oublie pas ! tu prendras tes pinces a seins et deux poids,
    ton plug, le gros bien sur !, et ton string brillant"
     
    "compris ? "
     
    je n'ose répondre, de peur de la réprimande cinglante.
     
    "tu fais bien de ne pas émettre un son, il n'est pas encore venu le moment  !"

    "pense aussi, tu vois je suis déjà  trop clémente a ton egard, à  emporter dans ta voiture ton jean's. Nous aurons à  faire quelques courses, il faut bien que tu puisses déambuler à  mes cotés ! Mais rien d'autre, c'est bien compris ? un imper, une paire de mules, ton jean's ... n'essaye meme pas de revêtir ou d'emporter autre chose ! "

    ... autre silence .. Maitresse doit me laisser le temps de digérer ce que ma situation de soumis va me faire ressentir ..

    "execution !" 
    et Elle raccroche, me laissant seul devant l'angoisse qui monte, les questions, l'hébétude de cette dureté innatendue et si brutale .

    J'ai peu de temps, j'ôte le string, l'embrasse car c'est un cadeau d'Elle,
    et enfile mon imper. Et, ... puisqu'Elle l' ordonné, je monte sur les
    plateformes orange, jambes nues, je prends ainsi au moins 13 cm de hauteur,  attrape mon jean's et les accessoires requis que je mets dans mes poches, mes clés et à  Dieu Vat , je quitte la chambre.

    Horreur, je me rends compte que je dois rejoindre ma voiture, et il fait encore jour, pourvu que je ne croise personne ! Le bruit de mes propres talons me semble ameuter tout l'hôtel ! Je grelotte; est-ce le froid de cette fin d'hiver, ou plutôt, je le crois plus volontiers, l'excitation et l'humiliation que les ordres brefs et précis me procurent ?

    La voiture, .. ma main fébrile qui essaie d'enficher la clé, je me rue a l'interieur et demarre ...
    Quelques minutes pour rejoindre ce parking, le jour décline déjà , tant mieux. Au moins 10 minutes sont déjà passées. J'angoisse qu'Elle soit arrivée avant moi, je ne veux même pas imaginer sa fureur ! Je roule sur ce  désert de goudron, les gens sont massés vers les entrées, comme toujours, mais ce parking fait un angle vers le fond, où je dirige ma voiture.
    Un recoin, vaguement isolé, éloigné de la foule me semble convenir, de toutes façons je ne vois pas mieux, et le temps m'est compté... Je m'arrête et coupe le moteur. Mon Dieu, maintenant, dois je vraiment Lui obéir ?

    Je sais que oui, je sais que je le veux, que je Lui fais confiance absolue, et qu' Elle sait ce qui est bon pour moi, pour Elle...
     
    Avec le ventre noué, j'entr'ouvre la portière, non sans regarder encore et
    encore si personne ne s'approche, et je sors un pied mulé de la voiture. Le sol. Second pied, allez courage, il faut y aller ! Je me mets debout, mon imper vole un peu dans le vent, mes jambes nues, mes pieds à peine couverts sentent le froid vif. Je claque la portière et fais quelques pas prudents.

    Je suis aux aguets, tendu à l'extrême, excité je le reconnais par cette situation inédite; je me sens inféodé, désarmé, complètement soumis à  Sa Volonté. Mes yeux cherchent sans relâche une Twingo qui arriverait, qui mettrait fin à mon supplice d'attente.

     

     

     


    Rien ..
    Les minutes s'égrenent, longues plaintes dans ma tete échauffée, être exposé 
    et faible, moins homme que jamais dans cette tenue qui me contraint à l'immobilisme et l'attente ...
    Mais que vois je ? un appel de phare ? Est ce pour moi ? Un inconnu m'aurait il pris pour une Belle de nuit, de loin ?
     
    Mon angoisse monte d'un cran, quand je vois la voiture démarrer et s'approcher .. dans ma direction !!!
     
    Je me rapproche de ma porte, prêt a bondir a l'interieur, mais un autre appel de phare me fait reconnaitre ceux d'une Twingo ... !! Se pourrait il qu'Elle ait déjà  été là  ?? ... Oui c'est bien Elle !!! Ma Maitresse, ma Muse, Ma Toute Puissante !
     
    Elle freine brutalement, sa portière à  ma portée de main. Elle ne bouge pas, ne me regarde même pas .... Me laisse deviner ce que doit être mon attitude. 
    Ne pas se tromper, faire ce qu'Elle attend, non, ce qu'Elle est en DROIT d'attendre de son soumis...
     
    D'une main hésitante, j'ouvre sa porte, et m'agenouille, les yeux baissés, ne pas croiser, ne pas défier son regard perçant.
    Elle dégage une jambe troublante, un de ses Pieds sort et je le baise avec fougue, le vénère sans honte, sa mule bat, ma langue peut lécher sa plante si douce, remonter sur le cou de pied lisse, et Elle ! Elle, elle joue avec 
    sa chaussure , la faisant claquer pour que je sente sa semelle remonter et coincer ma langue soumise entre sa plante et la chaussure....
     
    Le second Pied majestueux s'extraie de la voiture, pour recevoir l'Adoration autorisée, puis, sans qu'encore un mot n'ait été échangé, d'un doigt péremptoire et envoûtant, Elle me désigne le sol sous sa portière .... Je 
    crois comprendre et m'apprete à  m'allonger ...un ordre claque, sec :  " ôte ton imper !" ..
     
    ?? noon !! mes yeux doivent avoir tenté une supplique muette . . aussi , lance t-elle encore "Vite, j'ai dit !!"
     
    Comment peut-Elle se faire obéir avec si peu de mots ? Comment peut Elle prendre tant d'ascendant, avec tant d'économie de gestes, bien loin des Dominas de folklore, et obtenir tant de son soumis .. ?
     Mon esprit ne m'appartient plus, j'arrete de reflechir, je défais comme un automate trois malheureux boutons, arrache mon dernier rempart de vetement, 
    et c'est nu, exposé et définitivement à  sa merci, que je m'allonge devant Elle, qui, lentement, majestueusement, impérialement, toute nimbée de son Pouvoir réaffirmé, pose Pied après Pied, ses semelles et ses talons sur mon 
    dos. Son poids, physique, tout autant que moral, est entiérement compris, absorbé, accepté dans le renoncement, par le soumis.
     
    Elle prend son temps, jouit de la situation, respire l'air frais à petits coups, sûre d'Elle ... Il lui appartient, Elle en fera sa carpette, son chien ou son objet de plaisir, rien ne la presse ....
    Enfin, Elle descend, marche quelques pas, le laisse a terre .. s'approche à nouveau et, délicatement , le remet debout, se colle à lui, sa bouche cherche la sienne, et c'est d'un fougueux baiser, profond, salvateur, 
    qu'Elle lui signifie son contentement ... Elle le repousse enfin ...
     
    "marche !" dit Elle simplement, ..... "je veux te voir' .... lui, 
    malhabile, intimidé, s'éxécute. Quelques pas sur ses plateformes orange, n'est il pas ridicule ? Il marche, dans le silence à nouveau, Elle n'en perd pas une miette, sourit, détendue, fière d'obtenir cette docilité qu'Elle apprécie.
     
    "Bien , va mettre ton jean's, enfile ton imper mais laisse le ouvert pour le moment" ..
     
    Il revient, s'approche d'Elle, plus assuré sans cete nudité publique .. Il pense qu'Elle va lui indiquer de rentrer à l'hôtel, sans doute.
     Elle plonge sa main dans la poche de l'imper, fouille et vérifie la présence du plug ,des poids et des pinces, Elle extraie ces dernières avec un sourire enigmatique , le regardant droit dans les yeux ...
     
    "Nous avons quelques courses à faire, n'est ce pas ?"
     .... je reste silencieux, interdit, n'osant même pas imaginer ce que cela peut entrainer ...
     
    " Tu dois être digne de m'accompagner, et , je pense que tu t'en doutes, un soumis ne peut marcher à  l'égal de sa Maitresse, il doit sentir à chaque mouvement, chaque pas, que sa place est de souffrir pour sa Belle ... c'est 
    ce que j'ai décidé !"
    C'est dit d'un ton sans appel, certainement pas une question, il le comprend bien malgré son trouble et l'envie de fuir qui l'étreindrait presque ...
    D'un geste assuré, Elle apose sur chaque téton offert une pince, aussi punitive qu'humiliante.
    Ainsi, la ballade ne sera pas une promenade de santé, mais bien une épreuve dont elle raffole toujours.
     
    Elle prend soin aussi de mettre dans son propre sac les deux poids, et le plug. Il préfère ne pas anticiper, sinon, il défaillerait déjà , à coup sûr !
     
    "Bien, tu me sembles bien équipé, mon cher petit lad, ferme ton jean's et ton imper, nous allons prendre ma voiture pour rejoindre le magasin".
     
    Mes yeux doivent avoir "dit" quelquechose, malgré moi, qu'Elle a bien saisi, et qu'Elle entend souligner avec perversion cruelle. "Quoi, tu t'inquiè
    tes de savoir comment tu vas déambuler dans ce magasin ? C'est çà  ? Mais oui, tu as bien compris, sur tes mules, c'est pour cela, et seulement pour cela que je t'ai autorisé le port du pantalon. Sinon, c'aurait été nu sous l'imper sans rien ! Mais je n'avais pas envie de provoquer un mouvement de foule ! Ne t'inquiète pas, mon soumis, tu assumeras sans peine à  mon bras, j'y veillerai et te fais confiance pour résister aux éventuels regards .."
     
    Voilà  qui ne me rassure guère , mais devoir assumer en public ma soumission est une épreuve hautement pénible mais sans doute nécessaire à ses yeux....
     
    Nous voilà à l'entrée de la galerie commerçante, je n'ai jamais été aussi mal à  l'aise de ma vie, nous marchons d'un pas lent, au rythme que Maitresse m'impose, Elle a la bonté de me donner le bras, ce qui me donne courage et fierté !
     
    Nous entrons dans la surface de vente, parcourons ensemble les rayons, un panier au bras, Elle ordonne , assez fort, pour qu'on l'entende, ce qu'Elle veut que je prenne.
    Chantilly, vin, fruits, je dirais presque que la situation deviendrait banale ... un couple fait ses courses....
     
    Au rayon fruits, Elle me fait choisir des fraises, et nous partons vers l'employée qui fait la pesée. Elle me tend le sac devant l'employée, et au moment où je m'en saisis, ... est ce une illusion de ma part ? ... Elle lâche le sac avant que je n'ai le temps de m'en saisir. Celui ci tombe et se renverse, les fraises s'ecrasent a terre.
     
    Je la regarde, incertain, inquiet qu'Elle ne m'en impute la faute .... alors que c'est Elle qui .... Clac !!! c'est parti plus vite que je n'ai même pu réaliser !! Elle m'a giflé, fermement, de manière si inattendue, devant 
    l'employée que je n'ose regarder. Je suis saisi, humilié, completement soumis, sans réaction.
     
    Elle ..... Elle .. elle, au contraire, affiche un sourire satisfait, aucune trace d'émotion .... Elle reste calme, Maitresse d'Elle même ..
    Elle se contente de claquer un ordre sec, et bien sûr, assez fort pour qu'il soit entendu par les témoins de la scène.
     
    "Ramasse !" c'est tout, c'est bref, c'est définitif, c'est la preuve ultime de ma servilité, de mon obéissance acquise et absolue.
    Elle ne bouge pas d'un pouce, c'est moi, qui humilié, asservi au dernier degré, m'accroupit (sur les mules que tout le monde regarde, j'imagine !) et réunit les fraises dans le sac, à Ses Pieds ..... ma place ....
     
    Ainsi, Elle a obtenu de moi, l'extreme obeissance et soumission, Elle a su montrer, sans crainte, sans fausse pudeur, en public, toute l'étendue de son Pouvoir ....
     


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  •  

    Les doutes...  La Prise de conscience de son Pouvoir, Maitresse s'épanche avec sincérité.

    Maitresse écrit :

    Il n'existe aucun texte parlant de la peur d'une maitresse.Ne connait elle donc point ce sentiment?

    Est elle toujours sûre d'elle à 100% ?

    Oui , dans notre monde parallèle , la maitresse est sûre de ses actes , de ses dires , de ses buts.

    Alors , comme vous le disiez sur msn , seront nous à  la hauteur de nos attentes?

    Ne me faites pas l'affront de me dire que je dois etre moi meme en votre présence , ne me faites pas l'obole d'un sermon pour me rassurer , meme si j'en ai besoin.Cela signifierait que je suis restée novice à vos yeux , que je n'ai point évolué dans ces contrées que nous explorons à deux.

    Je vous ai écrit ce message car je sais que de  par votre sensibilité à mon égard , vous éprouverez le besoin de calmer mes angoisses et les vôtres quant à un second passage réel dans notre monde parallèle.

    N'en faites rien , car vous risqueriez de fissurer ce début de carapace que j'apprends et tente jour apré jour de construire.C'est à mi de vous dire de ne point vous inquiéter , de ne pas vous poser de questions , de ne pas jouer la comédie , mais d'etre vous meme ,avec votre corps et votre ame , comme vous l'avez été jusqu'à  présent.

    Je vous embrasse ........

     


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  • Les prémices ....

    Maitresse écrivait ...

    Vous vous etes permis aujourd'hui , de mettre le feu aux poudres de mon imagination , de me faire chavirer dans le monde parallèle , et de me dire ensuite , on peut continuer par msn ,transgressant une règle de notre conduite et m'amenant par la meme a la transgresser aussi (avec mon accord , bien entendu!).

    Je suis la , connectée a l'interdit , et vous en êtes absent!!! Déclenchant de ce fait , mon courroux a votre égard , vous en subirez les conséquences , inflexibles , impitoyables......

    Je laisse votre imagination se morfondre dans l'attente de ce chatiment...

    Baisers fugaces... 


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